Fanny se tire à la fac
Une fois les prénoms intervertis, Tupillio et Tupillia ayant retrouvé leur véritable identité, commence le marathon de l'éducation des bambins. Luchino étant fatigué par la période "bébé", Tosca est obligée de prendre un jour de congé pour leur apprendre à parler, marcher etc. Sa jauge d'aspiration étant remontée en platine après que j'aie pris le temps de réaliser quelques-uns de ses désirs, c'est Fanny qui prépare le lait-futé. Marius aussi, parfois, car lui aussi vient de voir sa jauge remonter : il est devenu meilleur ami de la jolie Marjorie et a obtenu la bourse d'études qu'il souhaitait.
Je l'aime bien, ce Marius, il tranche dans cet univers de cheveux bruns. Je le trouve vraiment superbe.
Mais le rythme de jeu s'est considérablement accéléré avec ces deux bambins, ces deux ados ayant leur propre vie, leurs propres besoins, ce père-senior qui travaille le soir, cette mère à jauge verte. Je ne touche plus terre. Je passe mon temps à mettre sur pause pour voir où j'en suis. Doux Jésus ! Tosca voudrait un autre enfant ! Je rêve ! Et Roméo qui s'invite au retour du lycée, en prime ! Il tombe bien mal, celui-là !
Fanny finit par en avoir sa claque de cette maison farcie de bambins, avec leurs jouets, leur talc, leur caca, leurs biberons, etc. Deux jours avant la date limite, elle annonce à toute la famille qu'elle part à la fac. Un bon lit placé dans son inventaire, quelques casques pensants pour mieux étudier, quelques énergiseurs et deux-trois arbres à simflouzes (ça peut toujours servir), elle prend ses cliques et ses claques et s'en va.
Tosca se sent un peu gênée, craint de l'avoir fait fuir et s'en excuse... C'est la gentille fille, Tosca, qui voudrait bien s'entendre avec tout le monde, tout en vivant sa vie, réalisant ses rêves. Difficile.
Fanny ne lui en veut pas, elle n'a plus l'âge d'être jalouse de sa belle-mère. Mais elle ne se sent pas non plus très concernée par la nouvelle vie de son père. Elle veut être indépendante ! Alors elle arrive à l'université La Fiesta. Loin de Véronaville.
Voyons comment l'a habillée le jeu... pas terrible, comme toujours.
Je la renvoie un instant au centre ville pour faire du shopping. Elle y croise sa cousine Colombina, son amie, qui se dit que la petite Fanny a bien grandi...
Fanny, voilà comment je l'imagine : elle en a longtemps voulu à tout le monde, tenait tous les véronavilliens y compris sa propre famille pour responsables de la mort de sa mère. Longtemps elle a voulu refuser de faire partie de cette famille, refuser ses oreilles d'elfes, ses cousines appelées "Montecchi". Mais ils lui ont tous donnés tant d'affection qu'elle a fini par lâcher prise et reconnaître qu'elle était bel et bien une Songedété avec une ascendance Capp.
De ses origines Capp, elle possède quelques traits physiques. Son nez long et fin est le même que celui d'Isotta : leurs grands-mères Juliette et Hermia étaient soeurs... Les yeux gris de Fanny sont à n'en pas douter ceux d'Hermia. Reste sa bouche, trop large, héritée de sa mère Béryl. C'est la seule chose en elle qui gêne l'harmonie du visage, par ailleurs très joli. Aussi, à peine rentrée de son shopping, Fanny, qui a tout prévu dans son inventaire (du moins, j'ai tout prévu), s'offre une petite séance de chirurgie esthétique, là, en pleine nature, devant sa résidence universitaire, afin de changer de bouche.
Hourrah ! C'est réussi ! A présent elle peut vraiment dire qu'elle est superbe !
Son charme ne tarde pas à faire effet sur devinez qui ? Le sim nu qui se présente peu après. Pleine d'audace, maintenant qu'elle se sait vraiment ravissante partout, Fanny l'aborde et, au milieu des autres étudiants, entame très naturellement la conversation avec lui.
ça se passe très bien puisqu'il la fait rire.
Puis ils se mettent à parler de choses visiblement très sérieuses et qui les passionnent, puisque ça dure jusqu'au moment où Fanny doit partir en cours.
Et lui, tout rêveur d'avoir rencontré une fille si avenante et si charmante, la regarde s'en aller. Il en a complètement oublié qu'il est tout nu. (jolies fesses, ce garçon...)
Bien joué, Fanny ! ça commence fort, ta vie à la fac !
A très vite pour l'arrivée de Marius qui lui aussi est maintenant à la fac, et des nouvelles des autres véronavilliens !